N° de la demande : 437225
Date d'insertion : 10/16/16
Catégorie : Coiffure
Email de l'annonceur : caperquy22@orange.fr
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Bicorne GENERAL Grande Tenue à identifier +boite attribuée
Merci de me confirmer l\'identification de ce BICORNE de GENERAL (en vente)1848 ? ,deuxième république en excellent état avec sa boite signée Général VESCO
Cette coiffure en excellent état me parait très rare?
Merci encore pour un coup de main!Photos complémentaires sur demande....
Photo ( Cliquez sur la photo pour l'agrandir )
3 identification(s) proposée(s)
10/17/16 levyryl@aol.com
Le modèle n\'a varié jusqu\'à la première guerre mondiale que par la diminution de sa hauteur et des changements du bouton, principal indice de datation qu\'il vous faut donc photographier en gros plan. Le bicorne des amiraux est strictement identique, sauf en ce qui concerne le bouton à l\'ancre.
Abandonné à l\'occasion de la guerre, il sera réintroduit par le règlement de 1931 mais la ganse en gros bouillons dorés sera remplacée par une ganse brodée noir et or (avec des variantes pour les généraux des services).
Les plumes sont noires pour les généraux de brigade et de division, blanches pour les généraux de division exerçant ou ayant exercé un commandement supérieur ou des fonctions assimilées (corps d\'armée, armée, membre du conseil supérieur de la guerre, ministre, résident supérieur ou gouverneur, ambassadeur, etc) et les maréchaux de France.Disparition définitive avec la seconde guerre mondiale. La rareté est relative selon l\'époque, vu le nombre de généraux et amiraux que nous avons eus.
Abandonné à l\'occasion de la guerre, il sera réintroduit par le règlement de 1931 mais la ganse en gros bouillons dorés sera remplacée par une ganse brodée noir et or (avec des variantes pour les généraux des services).
Les plumes sont noires pour les généraux de brigade et de division, blanches pour les généraux de division exerçant ou ayant exercé un commandement supérieur ou des fonctions assimilées (corps d\'armée, armée, membre du conseil supérieur de la guerre, ministre, résident supérieur ou gouverneur, ambassadeur, etc) et les maréchaux de France.Disparition définitive avec la seconde guerre mondiale. La rareté est relative selon l\'époque, vu le nombre de généraux et amiraux que nous avons eus.
10/17/16 levyryl@aol.com
Le modèle n\'a varié jusqu\'à la première guerre mondiale que par la diminution de sa hauteur et des changements du bouton, principal indice de datation qu\'il vous faut donc photographier en gros plan. Le bicorne des amiraux est strictement identique, sauf en ce qui concerne le bouton à l\'ancre.
Abandonné à l\'occasion de la guerre, il sera réintroduit par le règlement de 1931 mais la ganse en gros bouillons dorés sera remplacée par une ganse brodée noir et or (avec des variantes pour les généraux des services).
Les plumes sont noires pour les généraux de brigade et de division, blanches pour les généraux de division exerçant ou ayant exercé un commandement supérieur ou des fonctions assimilées (corps d\'armée, armée, membre du conseil supérieur de la guerre, ministre, résident supérieur ou gouverneur, ambassadeur, etc) et les maréchaux de France.Disparition définitive avec la seconde guerre mondiale. La rareté est relative selon l\'époque, vu le nombre de généraux et amiraux que nous avons eus.
Abandonné à l\'occasion de la guerre, il sera réintroduit par le règlement de 1931 mais la ganse en gros bouillons dorés sera remplacée par une ganse brodée noir et or (avec des variantes pour les généraux des services).
Les plumes sont noires pour les généraux de brigade et de division, blanches pour les généraux de division exerçant ou ayant exercé un commandement supérieur ou des fonctions assimilées (corps d\'armée, armée, membre du conseil supérieur de la guerre, ministre, résident supérieur ou gouverneur, ambassadeur, etc) et les maréchaux de France.Disparition définitive avec la seconde guerre mondiale. La rareté est relative selon l\'époque, vu le nombre de généraux et amiraux que nous avons eus.
10/17/16 levyryl@aol.com
Désolé pour le double envoi du à un bug.
Nicolas Martin VESCO (1789 -1883), saint cyrien, sous-lieutenant en 1807, lieutenant en 1809,capitaine en 1811,chef de bataillon en 1813, mis en non activité en 1814 puis réactivé pendant les cent jours, remis en non activité le 1er septembre 1815, tenu à l\'écart pendant toute la seconde restauration, rappelé à l\'activité comme lieutenant-colonel le 17 août 1830, colonel le 17 août 1832,après deux années dansla garde municipale il est nommé chef de diverses légions de gendarmerie (Grenoble, Dijon, Nancy), promu général de brigade le 20 avril 1845. Commandeur de la Légion d\'Honneur 19 avril 1843.
Cordialement
Nicolas Martin VESCO (1789 -1883), saint cyrien, sous-lieutenant en 1807, lieutenant en 1809,capitaine en 1811,chef de bataillon en 1813, mis en non activité en 1814 puis réactivé pendant les cent jours, remis en non activité le 1er septembre 1815, tenu à l\'écart pendant toute la seconde restauration, rappelé à l\'activité comme lieutenant-colonel le 17 août 1830, colonel le 17 août 1832,après deux années dansla garde municipale il est nommé chef de diverses légions de gendarmerie (Grenoble, Dijon, Nancy), promu général de brigade le 20 avril 1845. Commandeur de la Légion d\'Honneur 19 avril 1843.
Cordialement